Max Humana: Atteindre une performance maximale pour l’entreprise

Max Humana: Atteindre une performance maximale pour l’entreprise

La productivité n'est pas uniquement un mot à la mode en économie. C'est le fondement de la compétitivité, de la prospérité et de la croissance à long terme. Tous les pays de l'OCDE placent la productivité au premier rang de leurs priorités. Plusieurs forces rendent ce défi encore plus pressant. Le vieillissement de la population réduit le bassin de main-d'œuvre. Les jeunes générations, qui privilégient l'équilibre entre vie professionnelle et vie privée, sont moins disposées à combler les lacunes par de simples heures travaillées. Dans tous les secteurs, on demande aux entreprises de faire plus avec moins de personnel, avec des marges plus serrées et face à une concurrence mondiale qui s'intensifie.

En parallèle, une opportunité majeure se dessine. À mesure que de nouveaux leaders prennent les rênes des industries traditionnelles (construction, logistique, fabrication, agriculture, pour n'en nommer que quelques-unes), nous observons une soif de solutions technologiques. Il ne s'agit pas de mises à niveau incrémentales. Elles représentent un saut générationnel, passant du papier, des feuilles de calcul et des systèmes informatiques existants à des plateformes qui transforment véritablement la manière dont le travail est effectué.

C'est là qu'interviennent les logiciels d'entreprise et l'IA appliquée. Dans les secteurs à faible marge ou les industries majeures telles que l'énergie, les mines, la fabrication, même de petites améliorations comptent. Un gain de productivité d'un pour cent dans la logistique peut faire économiser des centaines de millions à l'échelle d'un réseau. Les copilotes IA dans les domaines juridique et de la conformité peuvent réduire considérablement le temps d'examen des contrats. La maintenance prédictive dans les usines réduit les temps d'arrêt, économise de l'énergie et prolonge la durée de vie des actifs. Ce ne sont pas des promesses abstraites. Ce sont des gains mesurables qui se répercutent directement sur le bénéfice net.

Chez Amiral Ventures, nous investissons dans les fondateurs qui voient cet écart comme une opportunité. Nous soutenons les bâtisseurs qui créent des plateformes logicielles qui digitalisent les verticales traditionnelles, libérant ainsi l'efficacité là où elle est le plus nécessaire. Nous supportons les solutions d'IA appliquée entraînées sur des montagnes de données complexes et propriétaires (ex: systèmes financiers, IoT industriel, cartes géospatiales, etc.) qui créent de véritables avantages compétitifs (defensible moats) et un réel retour sur investissement.

Notre approche est ancrée dans le pragmatisme. Nous ne recherchons pas des démonstrations tape-à-l'œil ou des outils génériques. Nous recherchons des entreprises qui prouvent leur valeur en quelques semaines, et non en quelques années, et qui offrent de l'efficacité en dollars économisés, en heures débloquées et en erreurs réduites. Et qui peuvent se déployer dans des industries en quête désespérée de solutions.

Le Canada ne peut pas se permettre de prendre davantage de retard. Sans une vague d'innovation stimulant la productivité, nous risquons de devenir une économie de filiales où les plateformes les mieux valorisées sont bâties ailleurs, et où nos entreprises sont laissées pour compte en tant que clients plutôt que champions mondiaux.

Mais l'inverse est tout aussi clair. En soutenant les fondateurs qui relèvent ce défi, nous pouvons transformer l'écart de productivité du Canada en une rampe de lancement pour ses prochains leaders technologiques. Les entreprises qui définiront la prochaine décennie sont en train d'être bâties en ce moment même par des équipes ambitieuses qui transforment la façon dont les entreprises produisent, fonctionnent et croissent.

Chez Amiral Ventures, notre engagement est simple : soutenir ces bâtisseurs, amplifier leur impact et aider à transformer leur vision en l'avantage concurrentiel dont le Canada a besoin.